La richesse de la mémoire ne se mesure pas à son contenu mais plutôt à la capacité de la personne à repêcher les informations qu'elle aura pris soin de classer dans son cerveau.
Plusieurs systèmes cérébraux entrent en jeu dans le cadre de la mémoire. Toute stimulation est d'abord captée par la mémoire sensorielle, c'est-à-dire par l'intermédiaire de la mémoire visuelle, auditive, kinesthésique, olfactive ou gustative. L'information est ensuite transmise à la mémoire à court terme (ou mémoire de travail), dont la capacité est limitée en termes de temps et d'espace de stockage. C'est elle qui permet d'effectuer des tâches quotidiennes. Certaines informations seront quant à elles stockées dans la mémoire à long terme pour que ces dernières soient durablement disponibles. Ce processus va dépendre très largement de la qualité du stockage de l'information et de la fréquence de répétition de la matière.
Bien qu'il existe des zones du cerveau dédiées aux différents sens, il n'en existe aucune où soit localisée la mémoire. La mémoire n'a pas de siège anatomique, elle est partout.
En cas de mémoire défaillante la luminothérapie peut grandement aider. Selon la technique du docteur Christian Agrapart, nous allons travailler en thérapie oculaire, c’est-à-dire que l’on va projeter la lumière colorée au niveau des yeux, ce qui va provoquer une réponse centrale, souvent d’ordre psychique. Pour une mémoire défaillante dû à un traumatisme (choc physique ou émotionnel) on optera pour du rouge suivi du vert alors que pour une mémoire défaillante dû à la fatigue, on optera pour du vert suivi du rouge
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