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Quand la couleur guérit

Dernière mise à jour : 13 mai 2021


Voici quelques extraits de ce bijou, écrit par la psychologue et chromothérapeute Michèle Delmas.


« La médecine contemporaine soigne plus les maladies que les malades. Elle fait des diagnostics à travers des examens complexes tandis que le discours du patient peu entendu, disparaît sous l’analyse de son dossier effectué par des groupes de médecins qui ne l’ont jamais vu. (...)


« La médecine contemporaine soigne plus les maladies que les malades. Elle fait des diagnostics à travers des examens complexes tandis que le discours du patient peu entendu, disparaît sous l’analyse de son dossier effectué par des groupes de médecins qui ne l’ont jamais vu. (...)     La médecine contemporaine oublie souvent la porte d’entrée d’une pathologie pour ne traiter que la conséquence. Par exemple, on va soigner un nez qui coule, mais on ne va pas éliminer le froid initial. La dimension énergétique, l’équilibre action-réaction, agression-réponse est oubliée. (...)  En psychologie, on se trouve face au même raisonnement. On supprime un symptôme sans éliminer ou réduire la cause. Un donne un tranquillisant pour réduire l’angoisse, mais comme un certain nombre de tranquillisants entraînent des états dépressifs, on ajoute un antidépresseur. Puis comme le patient est fatalement fatigué, on lui rajoute des fortifiants, des vitamines etc. Outre les effets secondaires, le patient devient totalement tributaire de ses petites pilules: une pour se réveiller, une pour digérer, une pour dormir...  Les médecines énergétiques tiennent compte de la parole du patient, et analysent également les réponses du corps ou du psychisme (...)"
Quand la couleur guérit Luminoharmonie Rolle

La médecine contemporaine oublie souvent la porte d’entrée d’une pathologie pour ne traiter que la conséquence. Par exemple, on va soigner un nez qui coule, mais on ne va pas éliminer le froid initial. La dimension énergétique, l’équilibre action-réaction, agression-réponse est oubliée. (...)


En psychologie, on se trouve face au même raisonnement. On supprime un symptôme sans éliminer ou réduire la cause. Un donne un tranquillisant pour réduire l’angoisse, mais comme un certain nombre de tranquillisants entraînent des états dépressifs, on ajoute un antidépresseur. Puis comme le patient est fatalement fatigué, on lui rajoute des fortifiants, des vitamines etc. Outre les effets secondaires, le patient devient totalement tributaire de ses petites pilules: une pour se réveiller, une pour digérer, une pour dormir...


Les médecines énergétiques tiennent compte de la parole du patient, et analysent également les réponses du corps ou du psychisme (...)"

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